Vendée Globe. Jérémie Beyou : « Moralement, j’ai des hauts et des bas »
lundi 23 novembre 2020 à 09:47Extrait choisi :
« […] mais je me rends compte que ce qui apparaît d’abord comme une aventure technique, ce n’est finalement que de l’humain. »
Site original : Shaarli - Shaarli | Orangina Rouge
Extrait choisi :
« […] mais je me rends compte que ce qui apparaît d’abord comme une aventure technique, ce n’est finalement que de l’humain. »
Extrait choisi :
« […] mais je me rends compte que ce qui apparaît d’abord comme une aventure technique, ce n’est finalement que de l’humain. »
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Combien de temps Combien de temps encore Des années, des jours, des heures, combien
Quand j'y pense, mon coeur bat si fort Mon pays c'est la vie Combien de temps encore Combien Je l'aime tant, le temps qui reste Je veux rire, courir, pleurer, parler Et voir, et croire, et boire, danser Crier, manger, nager, bondir, désobéir J'ai pas fini, j'ai pas fini Voler, chanter, parti, repartir Souffrir, aimer Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand Je sais qu'il n'y a pas longtemps Et que mon pays c'est la vie Je sais aussi que mon père disait Le temps c'est comme ton pain Gardes-en pour demain
J'ai encore du pain Encore du temps, mais combien Je veux jouer encore Je veux rire des montagnes de rires Je veux pleurer des torrents de larmes Je veux boire des bateaux entiers de vin De Bordeaux et d'Italie Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans J'ai pas fini, j'ai pas fini Je veux chanter Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix Je l'aime tant le temps qui reste
Combien de temps Combien de temps encore Des années, des jours, des heures, combien?
Je veux des histoires, des voyages J'ai tant de gens à voir, tant d'images Des enfants, des femmes, des grands hommes Des petits hommes, des marrants, des tristes Des très intelligents et des cons C'est drôle, les cons ça repose C'est comme le feuillage au milieu des roses
Combien de temps Combien de temps encore Des années, des jours, des heures, combien
Je m'en fous, mon amour Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul Quand le temps s'arrêtera Je t'aimerai encore Je ne sais pas où, je ne sais pas comment Mais je t'aimerai encore D'accord
Combien de temps
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combienQuand j'y pense, mon coeur bat si fort
Mon pays c'est la vie
Combien de temps encore
Combien
Je l'aime tant, le temps qui reste
Je veux rire, courir, pleurer, parler
Et voir, et croire, et boire, danser
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, parti, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui resteJe ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps
Et que mon pays c'est la vie
Je sais aussi que mon père disait
Le temps c'est comme ton pain
Gardes-en pour demainJ'ai encore du pain
Encore du temps, mais combien
Je veux jouer encore
Je veux rire des montagnes de rires
Je veux pleurer des torrents de larmes
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d'Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix
Je l'aime tant le temps qui resteCombien de temps
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combien?Je veux des histoires, des voyages
J'ai tant de gens à voir, tant d'images
Des enfants, des femmes, des grands hommes
Des petits hommes, des marrants, des tristes
Des très intelligents et des cons
C'est drôle, les cons ça repose
C'est comme le feuillage au milieu des rosesCombien de temps
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combienJe m'en fous, mon amour
Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul
Quand le temps s'arrêtera
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment
Mais je t'aimerai encore
D'accord
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Do start your day with this song!
Do start your day with this song!
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Deux morts à Cholet, un motif religieux, mais personne ne parle d'Attentat Terroriste. Pourquoi une telle spécificité médiatique ?
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C'est bien chill ça !
C'est bien chill ça !
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Ça fait une heure que je mouline. Alors je note ici un début de solution. J'ai un PC avec Ubuntu Mate 20.04 connecté à une Livebox en Wifi. J'ai un deuxième PC avec Windows 10 connecté au même wifi.
J'ai installé samba
, essayer de le dompter. Mais rien n'y fait. Je n'arrive pas à explorer ni d'un côté, ni de l'autre. J'ai partagé un dossier dans Windows, je ne vois pas dans Ubuntu. Et j'ai voulu installer system-config-samba
, ça n'est pas possible. J'ai installé gsambad
, mais j'ai visiblement une erreur. J'ai suivi la dernière partie de ce tuto pour créer un partage dans le fichier de configuration de samba (ça commence à être velu). Puis bien que je peux pinger la machine Ubuntu depuis celle Windows, je ne vois toujours pas mon partage…
J'ai trifouillé côté Windows pour désactiver tous les gardes fous ; cf la 1e et 2e partie de cet autre tuto.
Puis [ampoule qui s'allume !], je me suis rappelé d'un mec qui disait « créer un serveur python en 3 lignes (ou un truc du genre) » : clic, clac et boum (ce dernier ayant été trouvé a posteriori — lors de la rédaction de ce shaarlink).
Bref, ça fait le 3e essai, là j'y étais depuis 1h sans discontinuer, j'ai épluché des dizaines de page web. Et ça tient en 26 caractères que je vous livre ici : python -m http.server 5555
. Avec ça, j'ouvre un navigateur internet dans Windows, je tape http://MON.IP.DE.UBUNTU:5555
et paf ça fait des chocapic !
Bon, j'aimerais bien avoir cela dans le navigateur de fichiers et pouvoir déposer des fichiers plutôt que juste les lire. Mais il doit bien y avoir une astuce qui m'échappe.
Bon, et j'en profite (parce que je sais que « le mec » me lit ;-) ) : Merci!Merci!Merci! Sebsauvage ; tu le sais déjà mais tu as changé la façon d'aborder l'informatique pour des dizaines/centaines/x-aines personnes. J'en fait partie, c'est génial, et j'espère que ton site internet vivra looooooongtemps ! « Boujoutes! »
Ça fait une heure que je mouline. Alors je note ici un début de solution.
J'ai un PC avec Ubuntu Mate 20.04 connecté à une Livebox en Wifi. J'ai un deuxième PC avec Windows 10 connecté au même wifi.
J'ai installé samba
, essayer de le dompter. Mais rien n'y fait. Je n'arrive pas à explorer ni d'un côté, ni de l'autre. J'ai partagé un dossier dans Windows, je ne vois pas dans Ubuntu. Et j'ai voulu installer system-config-samba
, ça n'est pas possible. J'ai installé gsambad
, mais j'ai visiblement une erreur. J'ai suivi la dernière partie de ce tuto pour créer un partage dans le fichier de configuration de samba (ça commence à être velu). Puis bien que je peux pinger la machine Ubuntu depuis celle Windows, je ne vois toujours pas mon partage…
J'ai trifouillé côté Windows pour désactiver tous les gardes fous ; cf la 1e et 2e partie de cet autre tuto.
Puis [ampoule qui s'allume !], je me suis rappelé d'un mec qui disait « créer un serveur python en 3 lignes (ou un truc du genre) » : clic, clac et boum (ce dernier ayant été trouvé a posteriori — lors de la rédaction de ce shaarlink).
Bref, ça fait le 3e essai, là j'y étais depuis 1h sans discontinuer, j'ai épluché des dizaines de page web. Et ça tient en 26 caractères que je vous livre ici : python -m http.server 5555
. Avec ça, j'ouvre un navigateur internet dans Windows, je tape http://MON.IP.DE.UBUNTU:5555
et paf ça fait des chocapic !
Bon, j'aimerais bien avoir cela dans le navigateur de fichiers et pouvoir déposer des fichiers plutôt que juste les lire. Mais il doit bien y avoir une astuce qui m'échappe.
Bon, et j'en profite (parce que je sais que « le mec » me lit ;-) ) : Merci!Merci!Merci! Sebsauvage ; tu le sais déjà mais tu as changé la façon d'aborder l'informatique pour des dizaines/centaines/x-aines personnes. J'en fait partie, c'est génial, et j'espère que ton site internet vivra looooooongtemps ! « Boujoutes! »
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Je suis tombé sur cet album suite à l'écoute de « Monkey Man » en live par Amy Winehouse. C'est sympa ce rythme.
Je suis tombé sur cet album suite à l'écoute de « Monkey Man » en live par Amy Winehouse. C'est sympa ce rythme.
— Permalien
Sympathique petit morceau de jazz ultra-connu.
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